C’est pour faciliter le contrôle des limitations des places de stationnement que le parking à disque a vu le jour. C’est en 1957, en France, que les premiers dispositifs ont vu le jour pour ensuite se généraliser dans les grandes villes européennes et américaines. Le dispositif permet de comptabiliser le temps d’occupation d’une place de parking, selon les besoins des différentes localités. Certaines places sont limitées à une heure, tandis que d’autres vont au-delà. Un agent de la municipalité est également commis à la surveillance du respect du temps, et peut éventuellement pénaliser les automobilistes en infraction. Les automobilistes qui se garent sur un parking à disque sont obligés de placer dans leur véhicule, et bien au vu des agents de contrôle, un disque de stationnement. L’heure d’arrivée est généralement visible dessus. Au tout début de ce dispositif, en France, on utilisait des disques pour les zones bleues, qui mentionnaient l’heure d’arrivée et l’éventuelle heure de départ. Suite à la normalisation européenne de 1979, ces disques ont été peu à peu remplacés par ceux conformes aux recommandations des États membres de l’UE. Ces disques ne mentionnent que l’heure d’arrivée sur le parking, et peuvent ainsi être utilisés pour diverses durées autorisées de stationnement.