A l’heure où le monde entier cherche un meilleur moyen pour réduire la pollution de l’environnement afin de préserver la biodiversité, l’administration devient donc très stricte en ce qui concerne le respect de l’environnement. Ainsi, il est devenu obligatoire pour les véhicules utilitaires légers de passer une visite complémentaire pollution dix mois après le contrôle technique périodique. Il s’agit d’une visite conçue pour réduire le taux de pollution de l’air. Dans le cas où cette visite n’est pas effectuée, l’automobiliste risque d’être sanctionné. Les véhicules utilitaires légers de moins de 3,5 tonnes et âgés de plus de quatre ans sont concernés par ce type de contrôle, durant lequel le contrôleur vérifie l’identification du véhicule, le système de diagnostic embarqué, la teneur en gaz carbonique de la fumée émise afin de déceler des anomalies au niveau des émissions polluantes, et les témoins lumineux. Le contrôleur délivre alors un procès-verbal précisant la date limite de la visite complémentaire. Ce procès-verbal de visite complémentaire pollution se démarque complètement du procès-verbal du contrôle technique usuel. En cas de résultat défavorable, une contre-visite sera aussi prescrite deux mois après le contrôle complémentaire.